En 2013, le chef du Kremlin a annoncé avoir divorcé de son ex-épouse, Lioudmila Chkrebneva, une ancienne hôtesse de l’air qui lui a donné deux filles, Maria Vorontsova, 39 ans, et Katerina Tikhonova, 38 ans.
Nous sommes au printemps 2015. Un petit Ivan voit le jour dans une clinique de Lugano, en Suisse. Il est issu d’une relation entre le chef du Kremlin, 71 ans, et l’ancienne championne olympique de gymnastique rythmique Alina Kabaeava 41 ans. A l’époque c’était un secret.
Au printemps 2019, Alina Kabaeva accouche d’un deuxième garçon, prénommé Vladimir à Moscou.
Les deux enfants de Poutine vivent sous la surveillance de nounous, de gouvernantes, de précepteurs et de gardes du corps. Les enfants habitent à Valdaï, à 400 kilomètres au nord de Moscou, où se situe la résidence préférée de Poutine. Dans un bâtiment séparé, les deux enfants suivent leurs cours, font la sieste ou se détendent en compagnie de lapins, de deux poneys et d’un chien saint-bernard. Les mois d’été se déroulent souvent en mer. Alina embarque alors ses deux fils à bord du Graceful, un yacht de 84 mètres estimé à 120 millions de dollars.
La vidéo explore les différences culturelles entre les femmes russes et françaises, en soulignant l’importance de la féminité en Russie, les stéréotypes et les attentes sociales, ainsi que les expériences personnelles de l’auteur avec les femmes russes.
Les perceptions des femmes russes par une française
– La difficulté de parler des femmes russes de manière honnête sans offenser}
– Les contraintes de l’expression sur YouTube et la peur de l’immuabilité des propos}
– L’intérêt des hommes européens pour les femmes russes et le désintérêt des femmes européennes pour la Russie}
Les différences culturelles dans l’apparence des femmes en Europe
– Femmes sportives et athlétiques en Suède et en Allemagne}
– Féminité traditionnelle en Italie et en France}
– Élégance masculine chez les Scandinaves et les Allemandes}
– Moins d’importance accordée à l’élégance chez les femmes anglaises}
– Recherche de l’élégance en France et en Italie malgré les évolutions}
La valorisation des qualités féminines et la lutte contre l’érosion de ces qualités
– Les qualités féminines ne sont plus valorisées, considérées comme une faiblesse}
– Les qualités féminines sont considérées comme une faiblesse dans le féminisme moderne}
– Le victimisme des femmes dans l’Ouest affaiblit leur avancement}
Les femmes russes sont réputées pour leur beauté et leur féminité
– Les clichés sur la beauté des femmes russes}
– Le soin apporté à l’apparence physique}
– La fierté d’être féminine en Russie}
– La différence de perception de la féminité entre la France et la Russie}
– L’attitude des hommes envers les femmes en Russie}
Les différences entre les femmes russes et françaises en termes de maquillage et de style vestimentaire.
– Critique de l’abus de botox et de chirurgie esthétique à Moscou.}
– Remarque sur la beauté naturelle des femmes russes et la transformation excessive par le botox.}
– Observation des similitudes exagérées dans le visage des femmes à Moscou.}
– Comparaison de l’approche du maquillage entre les femmes françaises et russes.}
– Différences dans les habitudes de soin des ongles et des sourcils entre les femmes russes et françaises.}
Expérience de séance photo à Moscou
– Les séances photo sont très populaires en Russie, même pour les non-modèles.}
– La narratrice n’est pas à l’aise avec les photos depuis son enfance.}
– La narratrice commence à se sentir plus naturelle lors des séances photo.}
– Les femmes russes portent une attention particulière à l’apparence.}
Les différences culturelles entre les femmes russes et françaises
– Les Russes peuvent sembler moins sophistiquées pour éviter d’être perçues comme faisant partie de l’élite bourgeoise.}
– Les femmes russes ont tendance à prendre du poids après le mariage, contrairement au cliché de minceur.}
– Les habitudes alimentaires en Russie favorisent une silhouette plus pulpeuse chez les femmes.}
– Les relations entre les hommes et les femmes sont moins tendues en Russie, avec des rôles plus traditionnels.}
Les différences culturelles entre la séduction en France et en Russie
– La séduction et son impact sur les hommes et les femmes
– La fierté et l’appréciation des hommes et des femmes en Russie
– Les différences dans l’appréciation et les gestes d’attention des hommes russes
– Les attentes des femmes russes par rapport aux hommes européens
L’intégration des expatriés en Suisse est compliquée car les Suisses sont réservés et accordent difficilement leur confiance aux étrangers. Ils ont tendance à rester dans leur cercle familial et amical fermé. Parler la langue locale (français, allemand ou italien) facilite l’intégration mais ne la garantit pas pour autant.
Coût de la vie élevé
Le coût de la vie en Suisse est extrêmement élevé, l’un des plus chers au monde, proportionnel aux salaires élevés. Cela peut vite devenir anxiogène, surtout avec le système de poursuites qui ajoute des frais à chaque relance de paiement en cas d’impayé. Le coût des assurances santé est également très onéreux.
Sécurité de l’emploi relative
Contrairement à une idée reçue, on ne peut pas se faire licencier du jour au lendemain sans motif en Suisse. Cependant, le droit du travail est plus souple qu’ailleurs, et l’employeur n’a pas besoin de justifier un licenciement, à condition de respecter les délais de préavis liés à l’ancienneté.
La signification des prépositions est univoque.
La préposition universelle ‘je’ a, seule, un sens variable:
ex: Mi parolas pri vi (je parle de vous)
ex: Je kioma horo ? (A quelle heure ?)
Kredi je io (croire en quelque chose)
Les mots internationaux, sont repris tels quels
en espéranto, après une adaptation orthographique.
ex. teatro (théatre), lifto (ascenceur), radaro (radar), …
Le nom et l’article peuvent perdre leur dernière voyelle,
qui est remplacée par une apostrophe. (ex: en poésie)
Les mots composés se forment par simple juxtaposition, en plaçant le radical de base á la fin.
ex: Birdokanto (Chant d’oiseau), (Birdo = oiseau Kanto = chant)
mais Kantobirdo (Oiseau chanteur)
Il n’y a pas de double négation.
On ne dit pas ‘mi neniam ne fumas’,
mais : ‘mi neniam fumas’. (Je ne fume jamais)
On utilise la finale -n pour indiquer la direction avec mouvement.
ex: La kato saltas sur la tablo. (Le chat saute sur la table)
(Il est sur la table et il saute).
La kato saltas sur la tablon. (Il est arrivé sur la table)
Kien vi iras ? : où allez-vous ?
Ce blog manque d’objectif. Il va dans tous les sens. Voici le moment de faire le point sur son objectif et son orientation.
Pourquoi maintenir un blog alors que la mode des blogs est passé depuis longtemps. Peut être pour se motiver à écrire et aider à structurer sa pensée. Et puis avec le fédiverse la force d’un blog revient. On écrit un blog pour soi mais aussi pour les autres en espérant que cela soi utile au moins à une personne.
Ecrire un article c’est un peu comme une goutte d’eau dans la nature. Elle tombe au hazard et elle peut faire fructifier une plante ou bien aller dans un rivière et dans l’océan. Une goutte est rien du tout mais dans le désert elle a une grande valeur. Je voudrais écrire avec un peu plus de soin pour que chaque goutte soi d’une utilité et d’une valeur. Si cela aide au moins une personne l’objectif sera atteint
Voici les grandes directions
Le fédiverse et le numérique. Ce domaine a toujours été la motivation de ce blog. Montrer au monde que le fédiverse existe et que c’est une bonne chose. Cela peut être utile. Par extension tout ce qui touche à internet, l’informatique peut aussi convenir dans cette catégorie
Bonne nouvelle : L’évangile c’est une bonne nouvelle. Dans le lot des infos nous avons souvent de mauvaises nouvelles qui influencent notre état d’esprit. Ici nous parlons de bonnes nouvelles et de la bonne nouvelle. Oui cela change notre état d’esprit
Esperanto : c’est nouveau mais cette langue va être mis en avant plus souvent. L’espéranto est une langue logique et facile. On l’apprend pour s’amuser. On l’utilise si on veut. L’espéranto est neutre. Son but n’est pas de remplacer les langues existantes mais d’être une langue alternative de communication entre deux personnes qui ne parlent pas la même langue.
Réflexions : Une pensée ne doit pas être gardée mais partager. Une idée peut changer le monde. On réfléchit à un monde meilleur. Mais pour changer le monde il faut en premier se changer soi même.
Face à la désinformation et aux attaques constantes dont le peuple juif est la cible, il est impératif de parler et réagir.
Pour faire valoir vos droits, encore faut-il les connaître.
Mieux savoir, mieux comprendre, pour mieux se défendre. Tel est le principe de cette brochure.
Burn out, perte de sens, « bullshit job » : des hommes et des femmes racontent comment leur travail tant rêvé s’est mué en cauchemar, à l’opposé de l’épanouissement attendu. Des récits touchants, qui questionnent.En 1944, le bureau des services stratégiques américain publie le Manuel de sabotage simple sur le terrain, un ouvrage destiné à couler n’importe quelle organisation ennemie de l’intérieur. Parmi les principes édictés, certains sont aujourd’hui largement employés dans les entreprises – un constat ironique, qui sert de point de départ à ce documentaire édifiant. Selon une étude, 25 % des collaborateurs agiraient à l’encontre des intérêts de leur entreprise, après avoir développé une véritable haine à l’égard de leur travail.Burn out
À travers les récits d’hommes et de femmes qui ont vécu un burn out, le réalisateur finlandais John Webster plonge au cœur des dysfonctionnements qui rongent le monde de l’entreprise, et montre leurs effets néfastes sur les collaborateurs et la société tout entière. L’anthropologue David Graeber, mort en 2020 et auteur de Bullshit Jobs, et la chercheuse en psychologie Christina Maslach, spécialisée dans les troubles liés au stress au travail, éclairent ces témoignages de parenthèses théoriques enrichissantes. Un documentaire complet et nuancé, qui montre également comment certains tentent d’inventer l’entreprise du futur.
Bonne conversation honête. Alors qu’on a l’impression que les médias à force de répétition font de la propagande, Cédric nous partage les 3 formes de climatosceptiques
ceux qui ne croient pas que le climat se réchauffe. Ceux là n’existe plus
Ceux qui reconnaissent que le climat se réchauffe mais qui disent que ce n’est pas la faute de l’homme
Ceux qui reconnaissent que le climat se réchauffe et qui savent que c’est la faute de l’activité humaine mais qui disent ce n’est pas trop grave. Ce sont les climato réalistes.
Faire peur ne marche pas toujours et peut faire provoquer des réactions inverse
A Eclépens il y a une colline qui se situe exactement sur la ligne de partage des eaux entre la mer Méditérranée et la mer du Nord, c’est la Mormont. Holcim a une carrière. Mais Holcime veut continuer à creuser toujours plus cette colline. Elle va disparaitre.
A Éclépens, à seulement quelques kilomètres au nord de Lausanne, l’entreprise internationale de cimenterie LafargeHolcim exploite paisiblement 2800m2 de la colline du Mormont depuis bientôt 25 ans. En 2022, l’exploitation de la carrière déjà bien avancée arrivera à la limite du perimiètre d’exploitation autorisé, c’est pourquoi Holcim Suisse cherche à obtenir le plus vite possible de nouvelles autorisations pour continuer l’exploitation effrennée de la colline du Mormont. Si celle-ci n’est pas stoppée, d’ici 2029, tout le plateau de la Birette aura disparu. Mais ce n’est pas tout, Holcim envisage d’étendre davantage la carrière dans le futur jusqu’à détruire le sommet du Mormont, situé dans une zone figurant à l’inventaire fédéral des paysages. Cette zone est considérée comme l’un des milieux les plus riches en flore du Jura central. Réussir à extraire 8,4 millions de mètres cube de calcaire : voici le nouveau projet de Holcim. Les ONGs agissant contre l’extension de la mine (Association pour la sauvegarde de la colline du Mormont, Pro Natura) ont fait recours contre l’extension de la carrière, mais celui-ci a échoué au niveau cantonal. Mais le combat n’est pas terminé. Le recours à l’échelle fédérale a été lancé mais si celui-ci n’aboutit pas, nous risquons de voir à jamais cette colline qui surplombe Eclépens et la Sarraz détruite. Outre une biodiversité répertoriée et documentée, la colline est également un site archéologique important, classé au patrimoine européen, qui contient d’anciens sites de rituel, et probablement d’habitation celtiques. Holcim se félicite même de sa collaboration fructueuse avec les archéologues grâce au “soutien dynamique aux travaux archéologiques du site celte du Mormont. Cela se traduit par une excellente collaboration entre la direction de la cimenterie et le Service archéologique cantonal, ainsi que par des contributions financières sans lesquelles les travaux de fouilles n’auraient pas pu être réalisé dans le Canton.” De même qu’Holcim se vente de financer la protection d’orchidées sauvages se trouvant sur la colline. Déclaration hypocrite lorsque l’on sait que leur unique objectif ne réside finalement que dans l’avancement des travaux pour l’exploitation de la zone…
Le site concerné par le projet d’extension de la cimenterie par Holcim comprend 22 associations végétales, dont la moitié font partie des milieux dignes de protection selon l’Annexe 1 de l’OPN. En 1998, le Mormont a été classé à l’Inventaire fédéral des paysages, sites et monuments d’importance nationale en raison de sa richesse biologique. Cette richesse provient de la diversité des roches-mères présentes, comme de la diversité des expositions qui crée un climat unique. Ce site, par ses arbres et diverses présences végétales uniques, fait partie de l’ensemble de milieux précieux que représente le Mormont. Hotspot de diversité et de rareté, il a séduit des botanistes comme Pascal Kissling, mais aussi des auteurs romands comme Jacques Chessex ou Gustave Roud, qui se sont battus pour sauver le Mormont du projet d’une route en 1975. Et malgé tous ces arguments, Holcim ose justifier la prolongation de sa carrière en affirmant que le site de la Birette « est essentiellement formée de parcelles agricoles et ne contient pas de richesses naturelles particulières. ». Dans une lettre ouverte, Pascal Kissling écrivait que « même si nous ne reconnaissions qu’une valeur décorative aux milieux naturels, il faudrait laisser aux prochaines générations des possibilités de repenser leurs relations avec le milieu vivant. Or, ces possibilités ne tiendront que dans les quelques lambeaux de nature encore intacte que nous saurons leur transmettre. Ainsi la conservation de milieux comme celui du Mormont n’est pas un cadeau à la nature, c’est un acte de prévoyance et un devoir civil. »
Finalement, cette destruction des écosystèmes se fait au profit de la production de ciment qui est l’industrie qui émet le plus de CO2 en Suisse (voir onlget “Le béton: écologique?”). Non seulement, les agissements d’Holcim détruisent des écosystèmes précieux mais aggravent aussi les effets du réchauffement climatique en osant prétendre que le béton pourra être à l’avenir “zéro carbone”, alors que les émissions de CO2 proviennent directement du procédé industriel de production du ciment. Mais quelles alternatives au ciment sont possibles ? Vous trouverez toutes les pistes dans sous l’onglet béton. Car nous ne refusons des mesures hypocrites ou la promotion de nouvelles technologies soit disant miracles.
Aujourd’hui, en prolongement des luttes datant des dernières décennies pour la sauvegarde du Mormont, en écho aux grèves du climat, aux ZAD, aux actions pour l’écologie qui essaiment dans le monde avant qu’il ne soit trop tard, nous nous engageons contre ce projet d’extension de la mine. Défenseuses et défenseurs de la vie sur terre, soucieuses et soucieux d’un avenir viable; nous accomplissons comme le disait Kissling notre devoir civil : nous défendons la colline. Contre le béton redoutable d’Holcim, nous défendrons les orchidées sauvages et ce qu’elles représentent: la possibilité d’un avenir viable. Orchidées contre béton armé !