Aujourd’hui on a l’impression que la voiture électrique est une technologie nouvelle. Cette technologie nous est présenté comme savatrice pour notre humanité face au péril du réchauffement climatique.
Si je ne nie pas le réchauffement climatique lié à l’activité humaine je vais mettre ici un bémol pour la solution. Déjà quand on présente des chiffres on présente l’usage. Par exemple on va comparer les émissions co2 d’une voiture thermique à celui de la voiture électrique. Si on raisonne comme cela oui en bout de chaine la voiture électrique est gagnante. Mais comment on produit de l’électricité? Et dans le calcul il faut intégrer aussi la polution de la fabrication de l’objet.
La technologie de l’électricité date du 19e siècle. Si vous lisez Jules vernes on voit qu’à l’époque plusieures technologie étaient en compétition : vapeur – pétrole – alcool et électricité.
À cette époque, les automobiles les plus
perfectionnées, quel que fût leur système, mues
par la vapeur d’eau, le pétrole, l’alcool ou
l’électricité, ne dépassaient guère le cent trente à
l’heure, soit environ trente lieues de quatre
kilomètres, c’est-à-dire environ un mille et demi
par minute, – ce que les chemins de fer, avec
leurs express ou leurs rapides, donnent à peine
sur les meilleures lignes de l’Amérique et de
l’Europe.
On le
voit, les meilleurs fabricants avaient répondu à
l’appel de l’Automobile-Club, en envoyant leurs
types les plus perfectionnés. On en comptait une
quarantaine de divers systèmes, vapeur d’eau,
pétrole, alcool, électricité, tous ayant fait leurs
preuves dans nombre de mémorables sports.
D’après les calculs, basés sur le maximum de
vitesse qui pourrait être obtenu, cent trente à cent
quarante kilomètres, cette course internationale
durerait à peine trois heures pour ce parcours de
deux cents milles. Aussi, afin d’éviter tout
danger, les autorités du Wisconsin avaient
interdit la circulation entre Prairie-du-Chien et
Milwaukee pendant la matinée du 30 mai.
Et qu’en est-il des voitures hybride électrique et thermique. Il y a 150 ans Jules vernes écrivait
Construit par un inventeur du nom de
Lake, muni de deux moteurs, l’un électrique, de
soixante-quinze chevaux, actionnant deux hélices
jumelles ; l’autre à pétrole, de deux cent
cinquante chevaux,
Arte a diffusé un reportage sur les évangélique ayant pour titre ‘Les évangéliques à la conquête du monde’ Les voici. Je donnerais mon commentaire aprés les avoir vue
Cette deuxième partie est un peu plus orienté et manque d’équilibre. On a l’impression que tous les évangéliques ou du moins une vaste majorité veulent imposer la foi et les valeurs chrétiennes au monde au travers de la politique. On y voit quelques personne plus modérés mais on a l’impression qu’elles sont marginales. La musique est une musique qui fait peur. Justement dans cet épisode on y voit un commentaire technique d’un évangélique qui disait vouloir faire peur et ainsi il recevrait plus d’argent.
Les évangéliques sont beaucoup plus divers et on en a pas l’impression en visionnant ce reportage.
La séparation de la religion et de l’état a été une influence des protestants. La Bible n’impose pas Dieu. Les chrétiens ne forcent pas. Il y a des dérives et des mouvements extrèmes mais non majoritaires. La liberté de croire ou non est un fondement important dans la Bible. Dieu ne force pas. Si on ne veut pas de lui il ne va pas s’imposer comme un dictateur. L’histoire est une série de vague de retour à Dieu puis d’éloignement.
Je me suis un peu intéressé à ce qui se passe à Asbury et j’y ai écrit un article. Puis j’ai décidé de regarder les arguments ou critiques de Doug Batchelor. Je vais répondre point par points.
Dans son introduction il sous entend que c’est l’oeuvre du diable avec peu de contournement. Il parle de critère de réveil bible. Avant de commencer, je dois dire que je ne connais pas les critères de réveils bibliques. Dans la bible il y a la notion de réveil et d’endormissement mais le terme réveil comme il est compris ici sous entends action puissante de Dieu. Bref critiquer une chose en disant que ce n’est pas un réveil sans vraiment connaitre la définition est déjà un mauvais départ.
1. Pas de prédication sur la repentance.
Si il y a bien quelque chose que j’ai constaté c’est qu’on y parlait de péché et de repentance. Le mot y était souvent prononcé dans le bon contexte de faire demi tour et revenir à Dieu. Ce premier argument est tout simplement faux.
2. Le fruit du réveil sera des nouvelles âmes et des baptèmes.
Il me semble qu’à Asbury de nombreuses personnes sont venus à Christ et il y a dû avoir aussi des baptèmes par la suite dans les églises. Il dit qu’il n’a pas eu de preuve de personnes se repentant de leur péchés. Il y a pourtant eu de nombreux témoignages.
3. Des péchés sont abandonnés
Evidement ce genre de choses ne sont pas publiés avec précisions mais une personne qui se tourne vers Christ se détourne des péchés et abandonne ses péchés.
4. Prédication anti biblique
Ce point n’a pas eu de détails précis. Au contraire ce que j’ai constaté c’est que le fondement du méthodisme est trés biblique. Il mélange la chose en critiquant en disant que c’est du spectable. Mais si on peut bien critiquer quelque chose c’est que le coté spectacle n’est pas présent. Mauvaise lumière et son trés basique. C’était tout sauf du spectacle pour du spectacle.
5. un vrai réveil se propage.
C’est exactement ce qu’il s’est passé. Plusieurs universités ont suivis.
6. Le point principal est placé sous les émotions et les sentiments
Non le point principal était centré sur Christ et sur la parole de Dieu. Il y a eu aussi des émotions mais c’est normal. Comment ne pas être ému quand Christ nous touche et qu’on est convaincu de péché.
7. Absence d’opositon satanique.
Ce point je ne répondrais pas par manque de connaissance. Est ce que quand Dieu agit il y a toujours une oposition de Satan ? Il y a en a souvent c’est vrai. Est-ce que pour ce point particulier de Asbury il n’y en avait ou pas.
Conclusion. On peut toujours chercher des choses à critiquer et on trouvera certainement des raisons de le faire. Mais est-ce bénéfique. Critiquer négativement est quelque chose qui n’est pas biblique, cela condit au doute et à la division. Il faut regarder les choses positives. Ce qui était positif était des vies transformées, la parole de Dieu annoncée, Dieu qui agissait comme du temps des apôtres. L’homme ou l’organisation n’a pas été mis en avant mais c’est Dieu qui l’était.
Le président Emmanuel Macron n’a pas de « vision », au sens où un homme d’État aurait une compréhension historique des événements. Il se comporte plutôt comme un joueur de casino, qui certes a fait de beaux coups (financiers, médiatiques, etc.), mais qui s’est finalement rendu ivre de son pouvoir, jusqu’à plonger tout le pays dans une crise sans retour.
En Macronie, la démocratie est remplacée par un régime électif où le peuple, parce qu’il est considéré comme irrationnel et incapable de se gouverner lui-même, doit se dessaisir (par les élections) de la totalité de son pouvoir. Cette confusion entre démocratie et élection culmine dans les propos de Bruno Le Maire, L’idéologie selon laquelle l’élection désignerait les meilleurs est ancienne. Elle a été élaborée par la théorie du gouvernement représentatif (à la fin du XVIIIe siècle), contre l’idée démocratique.
Dans ce contexte idéologique, qui est toujours le nôtre, l’élu ne peut pas faire partie du peuple. Le « peuple », c’est la masse des classes modestes, des gens non éduqués que les élus guident avec pédagogie.
Le nouveau libéralisme autoritaire, né dans les années 1930, impose une prétendue « démocratie » dans laquelle il confond le « dêmos » avec une masse d’individus à éduquer. C’est le thème de la fabrication du consentement par les industries culturelles. L’enjeu, c’est d’éviter la violence armée (des régimes totalitaires de l’époque) pour privilégier la voie douce de l’hégémonie culturelle, celle qui s’imposera un peu partout à partir des années 1970.
Mais à partir du refus du traité constitutionnel européen de 2005, cette méthode ne fonctionnera plus, et c’est ce qui va pousser le néolibéralisme à exercer la violence à visage découvert. À la violence économique cachée va s’ajouter la violence psychologique (avec le harcèlement) puis physique (avec la répression policière), visant à isoler les individus et à dissoudre toute forme de collectif.
Le moment que nous vivons révèle un nouveau stade de mutation du néolibéralisme : une haine de la démocratie qui n’hésite plus à imposer « l’ordre » par les violences policières et qui, ce faisant, sème le chaos dans tout le pays.
Le mouvement social actuel se réfère comme les gilets jaunes, à la Révolution française. On peut y voir une nouvelle étape des gilets jaunes, avec la référence à 1789, au drapeau français, à la notion de souveraineté populaire, à la défense de l’État social et des services publics. En 2018, c’était le jaune fluorescent des gilets jaunes qui brillait dans une nuit noire. Aujourd’hui, sur les gilets et les drapeaux, c’est une explosion de couleurs.
On pourrait penser que les français sont bizarres. Alors que l’espérance de vie augmente et que tous les autres pays augmente aussi l’âge de la retraite pourquoi y-a-t-il une telle crispation sur les 64 ans? Les français sont-ils fainéants ? Est-ce-qu’ils se révoltent juste pour exister?
C’est vrai les grèves, les contestations, les manifestations font partie de la culture française. En Suisse on vote, en France on fait grève.
Mais l’ampleur des contestations a pris une ampleur inédite.
En fait cette révolte est le cumul de plusieurs colères
Manifestation pour la démocratie et contre l’article 49.3
L’étincelle a été l’usage de l’article 49.3 de la constitution qui donne les pleins pouvoir au gouvernement. Le peuple est contre une réforme des retraites, le parlement est contre alors le seul moyen de faire passer cette réforme est d’utiliser l’article 49.3.
C’est constitutionnel mais ce n’est pas démocratique.
Comme en 2005 pour le référendum sur la constitution européenne la décision du peuple n’est pas respecté. Et cela se voit.
La première raison de manifester c’est la non démocratie. Les jeunes sont les plus sensibles à cette raison.
Révolte contre la réforme de la retraite
L’autre raison de manifester est simplement l’objet de la réforme. Les gens voyant leur pouvoir d’achat diminuer sont fatigués et on leur demandent de travailler toujours plus toujours plus longtemps.
Cette raison primaire est surtout celle des syndicats et des travailleurs.
Il faut savoir que cette réforme a été demandée par les institutions européennes comme condition de recevoir des aides européennes.
Colère des gilets jaunes pour avoir un RIC
Quand on voit le style de révolte, on fait le lien avec les gilets jaunes. A l’origine c’était partie pour supprimer une taxe puis les revendications diverses se sont résumés en RIC. Les gilets jaunes voulaient juste la démocratie directe. Ils demandait simplement la possibilité d’organiser des référendums et surtout que la décision populaire soit respecté.
Le président a dit NON
Le pouvoir ressemble a un pouvoir absolu. C’est le président qui décide tout. Il a tous les pouvoir. Il demande à ses ministres de faire des choses. Puis cela redescent dans la pyramide. En bas il y a le peuple qui obéit. Si on réfléchit la démocratie n’en a que le nom. C’est un pouvoir absolu comme le roi. Il n’y a plus de contre pouvoir.
Mécontement général contre la diminution du pouvoir d’achat
D’année en année les salaires sont stables mais les prix augmentent. Les impôts augmentent. Le pouvoir d’achat diminue. La vie devient de plus en plus difficile. Les entreprises ferment car la concurence étrangère les tue. La mondialisation donne des prix à certains produits faibles mais elle tue les entreprise. Evidement la concurence n’est pas libre et juste. Les pays ayant moins de réglementations sont favorisés. La liberté de circulation des capitaux fait le reste. Les entreprises se délocalisent ou ferment. Les gens sont au chômage. Les salaires sont faible. C’est parfois plus avantageux de bénéficier d’aides sociales que de travailler.
Bref les gens en ont marre. La colère explose. Elle est multiple diffuse. La vie est de plus en plus dure. Les parents ont vu leur vie s’améliorer. La génération actuelle voit la vie devenir de plus en plus dure.
Certain manifeste contre le passe sanitaire et l’obligation vaccinale
Oui c’est passé mais certains n’ont pas pardonné au gouvernement la répression de l’époque du covid.
Un cri de colère pour dire on existe écoutez nous.
Les raisons sont donc multiples. Les gens en ont marre de ne pas être entendu. Alors ils se révoltent en brulant des poubelles en blocant des routes en faisant grève.
Conclusion
La France n’est plus une démocratie. D’année en année les présidents ont eu plus de pouvoir et sont devenus de plus en plus autoritaires. D’années en années le pouvoir a eu des objectifs qui n’étaient pas au bénéfice du peuple. Les riches sont devenus plus riches et les pauvres plus pauvres. Les médias ne sont plus neutre. Ceux qui se battent pour la justice sociales sont appelés ultra gauches. Ceux qui se battent pour la liberté et la souveraineté sont appelés extrème droite. Rien que dans ces termes péjoratifs ils décrédibilisent l’objet des révoltes. Quand cela se passe au Bélarus ou en Iran les journalistes sont du coté des manifestants. Mais quand cela se passe en France ils sont clairement du coté du pouvoir en mettant de coté leur neutralité.
La France n’est plus une démocratie véritable car le peuple n’est plus souverain. La raison est la perte de souveraineté lié à cause de l’appartenance européenne. Les gouvernements sont obligés d’appliquer les directives GOPE (Grandes Orientations des Politiques Européennes). Les gouvernement n’ont plus de marge de manoeuvre. Ils ne peuvent plus agir par une politique monétaire car le pouvoir monétaire est en Allemagne. Le pouvoir économique est dominé par l’Allemagne.
La France n’est plus une démocratie mais une exénocratie. Les étrangers ont le pouvoir. Ce sont les institutions européennes qui ont le vrai pouvoir. Et c’est l’Allemagne qui est au dessus. Peu de monde voient que le système est donc bloqué. Un changement de premier ministre ne va pas changer les choses. Un changement de parlement non plus (avec le 49.3 le parlement n’as pas de pouvoir), et un changement de président ne servira à rien. Voter ne sert à rien. Quelque soit la personne au pouvoir, elle n’a plus de pouvoir.