Différence entre les femmes françaises et russes

La vidéo explore les différences culturelles entre les femmes russes et françaises, en soulignant l’importance de la féminité en Russie, les stéréotypes et les attentes sociales, ainsi que les expériences personnelles de l’auteur avec les femmes russes.

Les perceptions des femmes russes par une française
– La difficulté de parler des femmes russes de manière honnête sans offenser}
– Les contraintes de l’expression sur YouTube et la peur de l’immuabilité des propos}
– L’intérêt des hommes européens pour les femmes russes et le désintérêt des femmes européennes pour la Russie}

Les différences culturelles dans l’apparence des femmes en Europe
– Femmes sportives et athlétiques en Suède et en Allemagne}
– Féminité traditionnelle en Italie et en France}
– Élégance masculine chez les Scandinaves et les Allemandes}
– Moins d’importance accordée à l’élégance chez les femmes anglaises}
– Recherche de l’élégance en France et en Italie malgré les évolutions}

La valorisation des qualités féminines et la lutte contre l’érosion de ces qualités
– Les qualités féminines ne sont plus valorisées, considérées comme une faiblesse}
– Les qualités féminines sont considérées comme une faiblesse dans le féminisme moderne}
– Le victimisme des femmes dans l’Ouest affaiblit leur avancement}

Les femmes russes sont réputées pour leur beauté et leur féminité
– Les clichés sur la beauté des femmes russes}
– Le soin apporté à l’apparence physique}
– La fierté d’être féminine en Russie}
– La différence de perception de la féminité entre la France et la Russie}
– L’attitude des hommes envers les femmes en Russie}

Les différences entre les femmes russes et françaises en termes de maquillage et de style vestimentaire.
– Critique de l’abus de botox et de chirurgie esthétique à Moscou.}
– Remarque sur la beauté naturelle des femmes russes et la transformation excessive par le botox.}
– Observation des similitudes exagérées dans le visage des femmes à Moscou.}
– Comparaison de l’approche du maquillage entre les femmes françaises et russes.}
– Différences dans les habitudes de soin des ongles et des sourcils entre les femmes russes et françaises.}

Expérience de séance photo à Moscou
– Les séances photo sont très populaires en Russie, même pour les non-modèles.}
– La narratrice n’est pas à l’aise avec les photos depuis son enfance.}
– La narratrice commence à se sentir plus naturelle lors des séances photo.}
– Les femmes russes portent une attention particulière à l’apparence.}

Les différences culturelles entre les femmes russes et françaises
– Les Russes peuvent sembler moins sophistiquées pour éviter d’être perçues comme faisant partie de l’élite bourgeoise.}
– Les femmes russes ont tendance à prendre du poids après le mariage, contrairement au cliché de minceur.}
– Les habitudes alimentaires en Russie favorisent une silhouette plus pulpeuse chez les femmes.}
– Les relations entre les hommes et les femmes sont moins tendues en Russie, avec des rôles plus traditionnels.}

Les différences culturelles entre la séduction en France et en Russie
– La séduction et son impact sur les hommes et les femmes
– La fierté et l’appréciation des hommes et des femmes en Russie
– Les différences dans l’appréciation et les gestes d’attention des hommes russes
– Les attentes des femmes russes par rapport aux hommes européens

Une haine bien ordonnée de la démocratie en France

Le président Emmanuel Macron n’a pas de « vision », au sens où un homme d’État aurait une compréhension historique des événements. Il se comporte plutôt comme un joueur de casino, qui certes a fait de beaux coups (financiers, médiatiques, etc.), mais qui s’est finalement rendu ivre de son pouvoir, jusqu’à plonger tout le pays dans une crise sans retour.

En Macronie, la démocratie est remplacée par un régime électif où le peuple, parce qu’il est considéré comme irrationnel et incapable de se gouverner lui-même, doit se dessaisir (par les élections) de la totalité de son pouvoir. Cette confusion entre démocratie et élection culmine dans les propos de Bruno Le Maire,  L’idéologie selon laquelle l’élection désignerait les meilleurs est ancienne. Elle a été élaborée par la théorie du gouvernement représentatif (à la fin du XVIIIe siècle), contre l’idée démocratique.

Dans ce contexte idéologique, qui est toujours le nôtre, l’élu ne peut pas faire partie du peuple. Le « peuple », c’est la masse des classes modestes, des gens non éduqués que les élus guident avec pédagogie.

Le nouveau libéralisme autoritaire, né dans les années 1930, impose une prétendue « démocratie » dans laquelle il confond le « dêmos » avec une masse d’individus à éduquer. C’est le thème de la fabrication du consentement par les industries culturelles. L’enjeu, c’est d’éviter la violence armée (des régimes totalitaires de l’époque) pour privilégier la voie douce de l’hégémonie culturelle, celle qui s’imposera un peu partout à partir des années 1970.

Mais à partir du refus du traité constitutionnel européen de 2005, cette méthode ne fonctionnera plus, et c’est ce qui va pousser le néolibéralisme à exercer la violence à visage découvert. À la violence économique cachée va s’ajouter la violence psychologique (avec le harcèlement) puis physique (avec la répression policière), visant à isoler les individus et à dissoudre toute forme de collectif.

Le moment que nous vivons révèle un nouveau stade de mutation du néolibéralisme : une haine de la démocratie qui n’hésite plus à imposer « l’ordre » par les violences policières et qui, ce faisant, sème le chaos dans tout le pays.

Le mouvement social actuel se réfère comme les gilets jaunes, à la Révolution française. On peut y voir une nouvelle étape des gilets jaunes, avec la référence à 1789, au drapeau français, à la notion de souveraineté populaire, à la défense de l’État social et des services publics. En 2018, c’était le jaune fluorescent des gilets jaunes qui brillait dans une nuit noire. Aujourd’hui, sur les gilets et les drapeaux, c’est une explosion de couleurs.

Extrait de réflexion de La philosophe Barbara Stiegler dans un article de Politis

Et vous vous voyez comment la démocratie ?