Asbury ma réflexion avec des réponses sans détours

Ce nom m’étais totalement inconnu il y a un jour. Et hier je suis tombé sur cette vidéo.

Au début j’ai pensé qu’il sagissait d’une transmission d’un réunion évangélique comme il y en a plein. Asbury … ? je n’en avais jamais entendu parlé. Et dans le titre il y a le mot revival ce qui signifie réveil.  La salle semblait bien pleine. Le style de musique un peu sobre. Oui la forme ne semblait pas extraordinaire… Et aprés je suis tombé sur d’autres informations.

Un article de Christianity Today en français parle de cet événement

« Jonathan Edwards, « Personne ne peut juger un réveil de seconde main.  La réalité spirituelle d’un réveil n’est pas accessible à distance, quelle que soit la qualité technologique de la retransmission. L’image de la chose n’est pas la chose elle-même. »

 

 

Voici l’article officiel de l’université 

Wikipédia dit que l’événement attirait 15000 personnes. Comme la salle était limité à 1000 à 2000 il y avait donc une queue. Au total 50 à 70 000 personnes sont venues

Et les médias américains commencent à en parler

Voici quelques réflexions…

La dénomination ou la religion n’est pas importantes

Je lis des critiques venant d’ici et là en se basant sur telle ou telle dénomination. Les catholiques en parlent avec une certaine envie et avec une critique mesuré. Les évangéliques français réfléchissent quasi rationnellement sur le sujet  Ce qui compte c’est Dieu.

La forme n’est pas importante mais le fond

La manière de louer Dieu devient secondaire. Notre critère de qualité est un critère humaine. Il se conforme à la mode du moment, le style de musique etc… C’est bien d’avoir de la bonne qualité mais tout cela est pour l’humain. Au dessus il y a le fond. La louange vient du coeur peut importe le moyen d’expression. Que nous restions calme ou que nous sautions en l’air joyeux l’important c’est notre attitude de coeur.

La popularité n’est pas un critère

Parfois Dieu agit avec un petit groupe parfois il touche des masses. Le nombre de personne touché n’a pas de lien avec la puissance de Dieu. Dans certains pays les chrétiens sont persécutés, il peut avoir des réveils et des manifestations de Dieu particulières. Mais cela reste visible que par peu de personnes. Parfois le nombre de personnes est plus important. Evidement nous désirons que le maximum de personnes soient sauvés et soit touché par la grâce de Dieu. La puissance de Dieu n’est pas limité. Il n’y en a pas une certaines quantité.

Le fondement c’est la Bible

Evidement tout devrait être conforme à la Bible. Le salut par la foi. Dieu veut que tous soit sauvé. Nous sommes tous pécheurs (on a manqué le but). Dieu a un plan pour nous : être en relation avec lui. Mais il y a une séparation entre nous et Dieu. Alors la relation est brisée. Mais Jésus à la croix a rétablie cette relation. Il est mort à notre place. C’est la foi. Une ferme assurance des choses qu’on espère. La foi est concrête. Elle se caractérise par de l’action. Nous sommes sauvé pour servir et faire les oeuvres de Dieu. Toutes ces choses sont la base.  C’est Dieu qui est souverain. C’est lui qui décide et non pas nous. Nous le servons. Mais il aime qu’on lui demande des choses. Il veut que nous soyons heureux en déversant son amour. Il veut nous utiliser pour partager cette bonne nouvelle et distribuant cet amour.

Ne pas regarder aux excés mais à Dieu

Il y aura toujours des gens qui voient ce qui ne va pas. Il y aura toujours des exagérations. Certains ne vont voir que les choses négatives. Les espions sont revenus et ont vu les géants et les problèmes sauf 2. Josué et Caleb ont vu le pays et ont cru que Dieu allait leur donner le pays et réaliser la promesse.  C’est bien de réfléchir nous avons une intelligence et un cerveau. On peut avoir un esprit critique et c’est bien. Mais en toute conscience il faut regarder aux promesses de Dieu et non à ce qui ne va pas.

Dieu peut-il agir plus à certains endroits ?

Réponse oui et non !!!  Avec une telle réponse je suis sûr de ne pas me tromper. Oui parce que mon expérience montre que parfois Dieu agit à certains endroits. La cas de Asbury peut le montrer. Les témoignages de gens qui y sont allés le montre.  Non parce que Dieu peut agir aussi au loin. Il n’est pas limité à un certain endroit. Il fait comme il veut mais il tient aussi compte de nous de notre soif de lui. Cette question n’a pas de réponse clair car elle dépend du contexte.

C’est temporaire ?

Peut être. Mais de toute façon tout est temporaire. Et une seconde avec la présence de Dieu a plus de valeur que 1000 ans en dehors de sa présence. Dieu est éternel nous sommes temporaire. Les réveils sont des vagues qui vont et viennent.

Conclusion

Les choses de Dieu ne se comprennent pas si on les expérimentent pas. Peut être je n’ai jamais expérimenté un réveil comme celui de Asbury alors je ne me sens pas légitime pour en parler. Mais j’ai expérimenté des choses particulière avec Dieu qui m’ont donné un avant goût de son amour et de sa puissance. Je ne peux que conclure et vous encourager à chercher Dieu par vous même.  Il se révéle à ceux qui le cherchent. Chercher le dans la Bible, dans la nature et dans les églises.

La transition énergétique vous y croyez ?

On a jamais consommé autant de bois. Pour extraire du charbon il faut plus de bois pour construire les mines. Pour construire le chemin de fer il faut énormément de bois pour la traverses. Pour fabriquer du fer il faut du charbon. Pour fabriquer de l’acier il faut du charbon. Pour fabriquer une voiture électrique il faut 2 tonnes de charbon.  Jean Baptiste Fressoz nous explique que nous n’avons jamais consommé autant de matière.  La transition énergétique est un mythe. Dans les années 1980 on disait qu’il faudra 50 ans pour la faire.

 

Il continue en parlant du bois matière écologique. Pour couper du bois il faut des machines qui consomment du pétrole. Les plantations d’eucalyptus sont beaucoup plus rentable pour une production de bois. Mais cela demande beaucoup d’engrais.

Comment préparer notre retraite

Il faut faire des activités et des projets qui nous stimulent et nous apportent de la reconnaissance, des choses qui nous font bouger avec d’autres personnes.  Prendre soin de notre santé c’est un ensemble de choses simple dont nous sommes déjà conscient comme boire de l’eau, bouger, manger des légumes et aimer la vie.

Préparation à la retraite

Nous l’avons attendu toute notre vie et certain vont pouvoir faire ce passage. On avait l’impression que cela ne viendrait jamais et pourtant le temps avance et il va falloir s’y préparer. A partir de 45 ou 50 ans on peut préparer sa retraire et il est bien d’y penser.

Certaines personnes ont du mal à lacher leur travail. D’autre voudraient partir plus tôt.

Cette préparation est l’occasion de se poser des questions et de réfléchir sur comment on pas faire cette transition et aussi se projeter sur l’après.

La partie psychologique et sociale

Cette partie est la plus importante car à la retraite, les problèmes viennent en majorité du coté social qui va manquer. On peut se sentir seul.

Dans un premier temps il est important de savoir ce que la retraite présente en tant que perte et en tant que gain. En résumé on perd du revenu et tous les liens sociaux liés au travail (collègues, fournisseurs et clients).  Par contre on gagne en liberté et en sérénité.

Comment allons nous occuper notretemps ? Qu’est ce qu’on va faire? Nous allons avoir du temps disponible.

Pour avoir une vie équilibrée nous avons besoin de stimulation, de reconnaissance et de structure. Le travail nous apporte ces trois choses. La stimulation par nos objectifs professionnles, la reconnaissance par notre salaire et parfois des mots de reconnaissance et la structure par les horaires et les choses que nous devons respecter.

A la retraite nous avons plus de stimulations, nous aurons moins de reconnaissance et la structure sera plus libre. Il va falloir nous prendre en main pour nous stimuler, faire quelque chose qui nous apporte de la reconnaissance et une structure.

Il va falloir savoir quelles sont les activités que nous ferons. Une activité est quelque chose de récurrente. Un projet a une fin.

Exemples de projets : Voyager dans un pays. Apprendre une chose (langue ou autre chose). Construire quelque chose etc…

Exemples d’activités : Jardinage, sport, bénévolat, lire, écrire.

Ce qui est important de retenir dans ces choix c’est de connaitre le niveau social pour chacune de ces choses. Une activité solitaire ne sera pas la même chose qu’une activité social. Exemple faire du sport en groupe ou seul. Lire se fait généralement seul mais aller dans un groupe de discussion littéraire est social.

Il est important qu’il y ait des activités sociales et stimlantes qui générent de la reconnaissance. Être bénévole dans une association d’entraide.

Concernant le couple il est important d’avoir des zone communes mais aussi indépendantes. Il faut avoir un équilibre entre le couple fusionnel et le couple séparé.

La partie financière

1er pilier : AVS

Il faut s’attendre en moyenne à avoir 60% de son salaire. 

L’AVS est la partie solidaire. Elle est calculé à partir du salaire moyen des 44 ans de 21 à 65 ans multiplié par le nombre d’année de cotisation. Le maximum est de 2390 pour une personne seule et de 3585 pour un couple. Le couple reçoit 1.5 fois la personne seule. Certains pense que le divorse est une bonne idée. Le gain généré par cette séparation serait inférieur aux pertes collatérales.

La rente minimum est de la moitié de la rente maximum.

2eme pilier : LPP : retraite par capitalisation

Cette partie est une cotisation individuelle. Le salarié et l’employeur met sur un compte chaque mois. Ce compte rapporte des intérêt durant toute la période.

A la fin on prend ce total et on affecte un taux de conversion qui est entre 5 et 6%. On calcul que l’espérance de vie va être de 20 ans à 65 ans.

On peut recevoir cette partie sous forme de rente ou sous forme de capital ou une partie en capital et une partie en rente.

Si on a une faible AVS il serait bien de compléter par une partie rente importante. Si on a un projet on peut utiliser une partie en capital.

3eme pilier 3A 3A

Cette partie est facultative et elle est surtout utile pour des raisons fiscale. Mais on peut mettre de l’argent de coté et faire des rachats pour combler une LPP.

La partie médicale

Les déterminants de la santé : la moitié de notre santé est déterminé par nos comportements. 25% par notre environnement, 20% par notre biologie et nos gènes et 10% par un accés aux soins

On va donc voir comment améliorer nos comportements. Les autre déterminants ayant moins d’impact et surtout on ne pourra pas trop agir.

Nous savons tous qu’une bonne hygiène de vie améliore notre santé. Alimentation équilibré, faire du sport bouger et être bien dans sa tête. L’aspect psychologique étant trés important.

Conclusion

Il faut faire des activités et des projets qui nous stimulent et nous apportent de la reconnaissance, des choses qui nous font bouger avec d’autres personnes.  Prendre soin de notre santé c’est un ensemble de choses simple dont nous sommes déjà conscient comme boire de l’eau, bouger, manger des légumes et aimer la vie.

 

 

 

Les incohérences du climatisme : l’automobile

Le climatisme est la nouvelle religion qui dit que la terre se réchauffe et qu’on va tous mourrir. Le climatisme nous dit que nous sommes coupable car si le climat se réchauffe c’est à cause de nous. Nous utilisons trop de ressource. Mais ce climatisme ne nous donne pas de piste pour changer. Au contraire, le dogme dit que la croissance doit continuer et que la technologie sera la solution. La technologie sera écologique. On produira moins de CO2.

Mais cette course en avant n’est pas cohérente. Regardez cette vidéo

Ma conclusion, tout le système nous pousse à acheter plus pour des produits qui durent moins longtemps. L’obsolescence de nos produit est toujours plus rapide. On achète un objet et oups il ne fonctionne plus ou il est dépassé par la technologie. La voiture ne fait pas exception. Toujours plus grosses toujours plus lourde toujours plus complexe donc plus cher avec toujours plus d’électronique. Dans quelques années cela ne fonctionnera plus.

On nous dit l’avenir c’est la voiture électrique. Il faut changer nos véhicules. Mais est-ce vraiment la solution?

A quand des fabriquants d’objets réparables qui durent plus longtemps robuste et fiables?

BTP construction ERP

La transformation numérique dans le BTP

Le secteur du BTP a commencé à se mettre lentement au numérique depuis une dizaine d’années, donc bien avant la crise du Covid 19. L’adoption d’un ERP BTP est un bon exemple de cette évolution. Cependant, la pandémie a fait de ce changement une nécessité. Le secteur a donc été catapulté vers une nouvelle normalité. La digitalisation était l’un des remèdes suggérés depuis longtemps par les professionnels pour améliorer la productivité. Covid ou pas, le secteur se devait d’évoluer, et vite.

La transformation numérique dans le bâtiment et les travaux publics est une cause qui me tient à cœur depuis longtemps. A maintes reprises j’ai abordé cette question sur mon blog. Voici quelques statistiques pour mieux comprendre ma position.

1) Le BTP a connu une maigre croissance de la productivité au cours des deux dernières décennies.
2) La transformation numérique peut entraîner des gains de productivité de 14% à 15% et une réduction des coûts de 4% à 6%.

Il est prouvé que les innovations numériques peuvent rationaliser les processus sur les chantiers et apporter des changements favorables. Ce qui m’amène à dire que, qu’on le veuille ou non, l’avenir appartient au numérique. Entre parenthèse je ne mésestime pas les perturbations que cela peut générer dans un premier temps dans les entreprises, puisqu’on parle de remodeler les processus de travail.

L’adoption du numérique grâce à un logiciel de gestion de travaux signifie faire des devis en déboursés en utilisant le module Etudes de prix d’un ERP. Ainsi au lancement du chantier, le devis devient un budget travaux qui peut être remanier par le conducteur de travaux. Cela signifie disposer de tablettes pour le pointage des salariés et des matériels sur le chantier, qui seront directement intégrés dans l’ERP. Et bien d’autres choses encore.

Plusieurs facteurs freinent la digitalisation dans le BTP.

D’abord on sait que les êtres humains résistent au changement. C’est un phénomène intrinsèque. Pendant des décennies, et je ne remonterai pas au temps des cathédrales, le secteur de la construction a fonctionné de la même façon. Aujourd’hui encore, on voit beaucoup d’entreprises recourir à des méthodes basées sur le papier et le crayon, au mieux en utilisant des tableurs Excel. Cette inertie est l’un des principaux facteurs qui ont empêché le changement. Cet état d’esprit est-il en train de changer après l’épisode du Covid 19 ? Il est tôt pour le dire.

Je peux comprendre qu’abandonner des méthodologies ancestrales est un bouleversement. Pour certaines entreprises qui sont déjà à court de trésorerie, ce changement est un risque qu’elles ne sont pas prêtes à prendre. D’abord il faudrait commencer par la rédaction d’un cahier des charges ERP pour identifier les besoins en termes de gestion de chantier. Ensuite il existe une question générationnelle chez les conducteurs de travaux. Les plus jeunes sortis d’études supérieures y sont très favorables, car ils y ont été sensibilisés. C’est plus compliqué pour les conducteurs qui se sont formés sur le tas, en ayant commencé comme chefs de chantier par exemple.

Par ailleurs on constate que la main-d’œuvre est en train de vieillir dans le secteur, malgré tous les efforts des Fédérations du BTP pour attirer des jeunes sur ces métiers. Or avec l’âge, on ne s’adapte pas vraiment (voir pas du tout) lorsqu’il s’agit de modifier ses processus de travail. Pendant le Covid le secteur a perdu beaucoup de salariés (même chose que dans l’hôtellerie restauration en fait) et seule une partie a été « récupéré » avec le déconfinement. Je ne connais pas l’âge médian d’un travailleur du BTP actuellement mais il me semble qu’il s’approche des 40 ans.

Heureusement les priorités sont en train de changer dans le secteur. De plus en plus d’entreprises pensent à la transformation numérique pour leurs processus. On constate un intérêt et des investissements accrus en R&D dans les technologies de l’informatique. Toutefois, ces avancées sont encore balbutiantes.

Le retard pris en comparaison d’autres secteurs est important. Beaucoup de chantiers restent rivés à des processus manuels et très physiques, ce qui implique beaucoup de temps de travail consommé sans valeur ajoutée. Les dépassements de coûts et de délais sont la norme dans le secteur du BTP, avec toutes les implications sur les budgets. Certes ce n’est pas nouveau, mais la possibilité d’un amélioration reste un rêve lointain pour beaucoup d’entreprises.

L’année en cours marquera-t-elle le début de la numérisation massive du secteur du bâtiment et des travaux publics ? L’avenir le dira.

Michel Campillon lire plus…