L’intégration des expatriés en Suisse est compliquée car les Suisses sont réservés et accordent difficilement leur confiance aux étrangers. Ils ont tendance à rester dans leur cercle familial et amical fermé. Parler la langue locale (français, allemand ou italien) facilite l’intégration mais ne la garantit pas pour autant.
Coût de la vie élevé
Le coût de la vie en Suisse est extrêmement élevé, l’un des plus chers au monde, proportionnel aux salaires élevés. Cela peut vite devenir anxiogène, surtout avec le système de poursuites qui ajoute des frais à chaque relance de paiement en cas d’impayé. Le coût des assurances santé est également très onéreux.
Sécurité de l’emploi relative
Contrairement à une idée reçue, on ne peut pas se faire licencier du jour au lendemain sans motif en Suisse. Cependant, le droit du travail est plus souple qu’ailleurs, et l’employeur n’a pas besoin de justifier un licenciement, à condition de respecter les délais de préavis liés à l’ancienneté.
L’estime de soi : une opinion sur sa propre valeur
L’estime de soi est le jugement que l’on porte sur sa valeur en tant que personne. C’est l’opinion que l’on a de soi-même, une appréciation subjective qui n’est pas figée ou définitive. Chacun peut travailler à modifier positivement cette perception de soi au fil du temps.
Développer une meilleure estime par des exercices concrets
Pour acquérir une bonne estime de soi, plusieurs exercices sont recommandés. Tout d’abord, faire une liste écrite de ses connaissances, compétences, diplômes, qualités personnelles et professionnelles, en évitant l’autocritique excessive. Cette prise de conscience objective de ses atouts est un premier pas important.Il est également essentiel d’identifier ses pensées et croyances négatives sur soi-même, de les remettre en question et de les nuancer. S’accepter tel que l’on est, avec ses qualités et défauts, sans se comparer constamment aux autres, est une clé pour développer la confiance en soi.Se complimenter, se répéter des affirmations positives sur soi-même de manière régulière, est un exercice puissant pour ancrer une image plus valorisante de sa personne. Avec la pratique, ces nouvelles pensées positives finiront par émerger naturellement.
L’impact des expériences de vie sur l’estime de soi
Nos expériences vécues, qu’elles soient positives ou négatives, façonnent grandement notre estime personnelle. Des expériences positives, des réussites et des encouragements favorisent un regard positif sur soi-même. À l’inverse, une succession d’échecs, de critiques ou de difficultés peut miner l’estime de soi.Lorsque l’estime de soi est faible, on a tendance à s’autocritiquer constamment, à être insatisfait de soi, indécis par peur de l’erreur, et à adopter un comportement perfectionniste ou pessimiste. On peut aussi se montrer hypersensible aux critiques et se sentir facilement attaqué.
Les bienfaits d’une bonne estime de soi
Une bonne estime de soi permet au contraire de s’accepter pleinement, avec ses forces et ses faiblesses, sans se considérer ni inférieur ni supérieur aux autres. On fait alors preuve de confiance en soi, on croit en ses capacités et on ose faire ses propres choix sans hésiter.Avec une saine estime personnelle, on peut aller de l’avant, résoudre les problèmes et relever les défis sans se laisser paralyser par le doute. On n’hésite pas non plus à demander de l’aide quand c’est nécessaire. En somme, une bonne estime de soi est un puissant moteur pour s’épanouir et s’accomplir pleinement dans la vie.
On le sent sans en avoir la preuve mais cette vidéo nous le montre. Ce psychologue coach nous explique ce que notre société est devenu. Une ensemble de gens seuls qui restent dans leur coin. La solitude augmente. Le vrai amour devient rare.
✨ Sortir de la relation est très difficile pour certaines personnes. Bien que dans la douche, ils comprennent parfaitement – ils ne sont plus nécessaires. Ils sont maltraités. Ils parlent à travers les dents, le nez se tortille, le bruit du toucher-oui, et cela arrive. Ils n’appellent pas, n’écrivent pas et ne répondent pas, cachant à peine l’irritation. Ils ne sont pas aimés, c’est tout. Ils sont devenus un fardeau, bien qu’ils n’aient rien fait de mal.
Et il y a une période d’auto-tromperie: il semble que tout peut être corrigé.
Pour prouver que tu as besoin de toi.
Que vous êtes mal, injustement amoureux et en désaccord avec vous!
Et l’homme devient timide et ridicule-il n’est pas gentil avec lui-même. Et une certaine force vous oblige à écrire, à appeler, à venir à quelqu’un qui n’en a pas besoin. Et à chaque tentative de communication, l’estime de soi diminue de plus en plus, comme le prix d’une étiquette d’une chose que personne n’achète. Inutile, ridicule, chose laide! Callosités des yeux et prend de la place.
Il faut prendre de la force et arrêter les tentatives de communication. C’est très difficile, très – parce que c’est ainsi que se comportent les personnes dépendantes, attachantes, aimantes, il est difficile pour elles d’arrêter – tout à coup, il y a encore une chance? Peut-on encore parler et trouver la raison du refroidissement? Ne fais pas mieux. Il faut être déterminé, se lever, dire au revoir et partir. Et ne pas écrire, et ne pas appeler-compléter ce glissement inexorable vers le bas, c’est rouler dans l’abîme. Ce sera douloureux et triste – mais si vous continuez à communiquer, alors ce sera encore plus douloureux et plus triste. Vous pouvez vous empoisonner et vous amener à la dépression: comme avec l’alcool – plus vous buvez, plus ce sera pire.
Mieux vaut partir et éviter les appels et les courriels. Et de parcourir la page. Et d’essayer d’apprendre quelque chose de connaissances communes. Jusqu’à ce que le prix soit passé en « moins », jusqu’à ce que vous vous trahissiez définitivement. Et seulement dans ce cas, il y a des chances qu’une personne qui n’a pas besoin de nous réfléchisse et s’ennuie. Et il remarquera qu’on n’est pas là. Et lui – même fera des tentatives de communication – et nous déciderons déjà si cela vaut la peine de communiquer avec celui qui nous a causé tant de douleur. Peut-être pas exprès, mais causé.
Et, surtout, nous garderons nous-mêmes et notre estime de soi, notre estime de soi, sans laquelle nous ne sommes tout simplement pas là. Bien que ce soit difficile et douloureux, mais parfois il n’y a pas d’autre moyen de sortir – juste partir tranquillement. Parfois, c’est aussi un exploit… ✨
La signification des prépositions est univoque.
La préposition universelle ‘je’ a, seule, un sens variable:
ex: Mi parolas pri vi (je parle de vous)
ex: Je kioma horo ? (A quelle heure ?)
Kredi je io (croire en quelque chose)
Les mots internationaux, sont repris tels quels
en espéranto, après une adaptation orthographique.
ex. teatro (théatre), lifto (ascenceur), radaro (radar), …
Le nom et l’article peuvent perdre leur dernière voyelle,
qui est remplacée par une apostrophe. (ex: en poésie)
Les mots composés se forment par simple juxtaposition, en plaçant le radical de base á la fin.
ex: Birdokanto (Chant d’oiseau), (Birdo = oiseau Kanto = chant)
mais Kantobirdo (Oiseau chanteur)
Il n’y a pas de double négation.
On ne dit pas ‘mi neniam ne fumas’,
mais : ‘mi neniam fumas’. (Je ne fume jamais)
On utilise la finale -n pour indiquer la direction avec mouvement.
ex: La kato saltas sur la tablo. (Le chat saute sur la table)
(Il est sur la table et il saute).
La kato saltas sur la tablon. (Il est arrivé sur la table)
Kien vi iras ? : où allez-vous ?